Planète Verte
La Terre, notre planète va mal et c'est notre faute.
lundi 17 mars 2014
dimanche 24 novembre 2013
Visite à Urdaibai
A Urdaibai en premier nous avons allait à un observatoire qui était à trois minutes du Birds Center muse. Quand on à allait a l’observatoire on a vu beaucoup d’espèces d’oiseaux avec un télescope que la avait la guide. Comme : Spatule blanche, martin-pêcheur, gazette commune…Après ont est allait a Birds center muse d’Urdaibai et on a vu tous les espèces qu’il y a dans les marais d’Urdaibai. Ils nous ont montre un vidéo on nu expliquons les espèces d’oiseaux et de canard et aussi dans le vidéo ils nous ont explique comment les oiseaux migrent et par ou ils passent par exemple les lieu ou presque tous les oiseux passent sont Wadden sea, Banc d’arguin, Urdaibai… Après ils nous ont montre des vidéo d’oiseaux que eux même ils avaient fait, il y avait quatre écran et dans chaque écran avait un oiseau de las même espèce et ont marche quatre pas et on arrive et il y avait autre quatre écrans mais avec une autre espèce.
dimanche 3 novembre 2013
L'écosystème du marais d'Urdaibai
Dans la province de Biscaye, entre les caps de Matxitxaco et Ogoño, se
déploient douze kilomètres d'étendues de sable qui ont été classées par
l'UNESCO, tout comme de nombreux autres écosystèmes, réserve de la biosphère
(1984). Des forêts de chênes verts côtoient des zones de végétation aquatique,
ce qui rend compte de la valeur écologique de cette ria.
La ria d'Urdaibai
constitue l'un des sites naturels les plus intéressants du Pays basque. Des
montagnes relativement peu élevées, très escarpées cependant, donnent accès à
une vallée qui débouche sur la mer Cantabrique en créant un large estuaire. La
plaine cultivée se transforme en marais, tandis que sur la côte, les plages
sont entrecoupées de falaises. Aussi, de nombreux biotypes et écosystèmes
cohabitent-ils. En ce sens, un exemple remarquable de cette harmonie est la
zone humide inscrite dans la Convention de Ramsar, classée Zone de protection
spéciale des oiseaux. La diversité qui caractérise ce site se manifeste dans
l'existence de forêts de chênes verts, de maquis, de landes, de rochers et de
plantes aquatiques. Dans les régions où la main de l'homme est intervenue, il
existe des plantations forestières, des prairies et des cultures abritant
d'autres espèces animales et végétales. Parmi plus de 600 espèces que compte
cette zone, les plantations de chênes verts cantabriques méritent une mention à
part. En ce qui concerne la faune, la communauté la plus importante est
constituée par des oiseaux, étant donné que cette zone humide est un endroit de
passage pour de nombreux oiseaux migrateurs. Cette richesse ornithologique est
due à la présence aussi bien d'oiseaux sédentaires que d'oiseaux qui nidifient.
Plus de 300 vertébrés ont été répertoriés dans cette réserve de la biosphère.
Ce marais se divise en 3 zones bien distinctes.
La partie haute, comprise entre Gernika et Murueta / Arteaga où domine l'influence d'eau douce. Les communautés végétales les plus importantes sont les roseaux dans les zones inondées et les prés.
Les rosières constituent un habitat des plus importants pour la reproduction de certaines espèces d'oiseaux qui trouvent là, nourriture et protection. Leur maintien est donc primordial.(Râle d'eau, Bruant des roseaux, Bergeronnette printanière, Rousserolle effarvatte etc... )
Ces prés ont été gagnés sur d'anciennes zones humides par la construction de digues empêchant l'entrée d'eau salée. Un système d'écluse permettait d'écouler le surplus des eaux pluviales.
La partie centrale, entre Murueta / Axpe sur la rive gauche et Arteaga / Kanala sur la rive droite. Ici on note une influence marine importante et le marais prend ici toute son ampleur. Les marées conditionnent la vie dans l'estuaire en créant un milieu hostile pour la plupart des plantes. Cependant, un petit groupe a développé une adaptation au milieu qui leur permet d'affronter avec succès la salinité, l'inondation au grés des marées, la mouvance du sol et le manque d'oxygène. La distance du canal central conditionne la distribution des plantes.
Sur le bord même du canal on trouve exclusivement ou presque, l'herbe marine, rare et protégée, qui en dehors des grandes marées, reste en permanence sous les eaux.
Puis on trouve des bandes formées par la spartéine marine et les salicornes.
Un peu plus loin, Halimione portulacoides et limonium vulgare (rare et protégée par la loi) marquent le niveau moyen des marées dans tout l'estuaire.
Enfin, sur les prairies en permanence humides, les joncs et les roseaux, véritable zone de transition entre le marais et la terre ferme, refuge naturel de bien des oiseaux migrateurs mais aussi aire de nidification par excellence de quelques espèces. La protection de cet habitat s'impose donc
A signaler aussi la présence de quelques arbres supportant un fort degré de salinité et l'inondation temporaire: le tamaris, la saule commun et, prés de l'influence des eaux douces, l'aulne qui occupe les fondrières. A Busturria, à proximité du marais, on observe également une zone terrestre artificielle composée de dépôts de sable provenant du dragage de la Ria sur d'anciens polders. Cette zone abrite aujourd'hui, 30 ans après sa création, une flore adaptée à un substrat pauvre et sec: lagure ovale, camomille, liseron terrestre, mélilot blanc....
En lisière de cette zone abondent malheureusement des plantes invasives (Pampa, Baccharia) provenant d'autres continents et qui éliminent dans bien des cas les plantes locales.
La zone inférieure, qui s'étend depuis Axpe / Kanala jusqu'à l'embouchure avec très forte influence marine. Ici dominent plages, dunes et bancs de sable.
Suite à une grosse tempête, les dunes de Laida ont disparu vers 1950, et l'action du vent et de la mer ont alors empêché la récupération de la flore. Depuis 1999, le "Patronato d'Urdaibai" a lancé un projet de récupération de la plage par la restauration de la dune. Les dunes sont l'habitat du littoral le plus inhospitalier, dans lequel vivent pourtant des plantes et des animaux singuliers, la plupart d'entre-eux en danger d'extinction.
Les dunes consolident et protègent la plage en évitant les pertes de sable. Leur stabilisation évite aussi le transport de sable vers l'intérieur de l'estuaire, limitant ainsi son ensablement.(2)
Bibliographie:
Ce marais se divise en 3 zones bien distinctes.
La partie haute, comprise entre Gernika et Murueta / Arteaga où domine l'influence d'eau douce. Les communautés végétales les plus importantes sont les roseaux dans les zones inondées et les prés.
Les rosières constituent un habitat des plus importants pour la reproduction de certaines espèces d'oiseaux qui trouvent là, nourriture et protection. Leur maintien est donc primordial.(Râle d'eau, Bruant des roseaux, Bergeronnette printanière, Rousserolle effarvatte etc... )
Ces prés ont été gagnés sur d'anciennes zones humides par la construction de digues empêchant l'entrée d'eau salée. Un système d'écluse permettait d'écouler le surplus des eaux pluviales.
La partie centrale, entre Murueta / Axpe sur la rive gauche et Arteaga / Kanala sur la rive droite. Ici on note une influence marine importante et le marais prend ici toute son ampleur. Les marées conditionnent la vie dans l'estuaire en créant un milieu hostile pour la plupart des plantes. Cependant, un petit groupe a développé une adaptation au milieu qui leur permet d'affronter avec succès la salinité, l'inondation au grés des marées, la mouvance du sol et le manque d'oxygène. La distance du canal central conditionne la distribution des plantes.
Sur le bord même du canal on trouve exclusivement ou presque, l'herbe marine, rare et protégée, qui en dehors des grandes marées, reste en permanence sous les eaux.
Puis on trouve des bandes formées par la spartéine marine et les salicornes.
Un peu plus loin, Halimione portulacoides et limonium vulgare (rare et protégée par la loi) marquent le niveau moyen des marées dans tout l'estuaire.
Enfin, sur les prairies en permanence humides, les joncs et les roseaux, véritable zone de transition entre le marais et la terre ferme, refuge naturel de bien des oiseaux migrateurs mais aussi aire de nidification par excellence de quelques espèces. La protection de cet habitat s'impose donc
A signaler aussi la présence de quelques arbres supportant un fort degré de salinité et l'inondation temporaire: le tamaris, la saule commun et, prés de l'influence des eaux douces, l'aulne qui occupe les fondrières. A Busturria, à proximité du marais, on observe également une zone terrestre artificielle composée de dépôts de sable provenant du dragage de la Ria sur d'anciens polders. Cette zone abrite aujourd'hui, 30 ans après sa création, une flore adaptée à un substrat pauvre et sec: lagure ovale, camomille, liseron terrestre, mélilot blanc....
En lisière de cette zone abondent malheureusement des plantes invasives (Pampa, Baccharia) provenant d'autres continents et qui éliminent dans bien des cas les plantes locales.
La zone inférieure, qui s'étend depuis Axpe / Kanala jusqu'à l'embouchure avec très forte influence marine. Ici dominent plages, dunes et bancs de sable.
Suite à une grosse tempête, les dunes de Laida ont disparu vers 1950, et l'action du vent et de la mer ont alors empêché la récupération de la flore. Depuis 1999, le "Patronato d'Urdaibai" a lancé un projet de récupération de la plage par la restauration de la dune. Les dunes sont l'habitat du littoral le plus inhospitalier, dans lequel vivent pourtant des plantes et des animaux singuliers, la plupart d'entre-eux en danger d'extinction.
Les dunes consolident et protègent la plage en évitant les pertes de sable. Leur stabilisation évite aussi le transport de sable vers l'intérieur de l'estuaire, limitant ainsi son ensablement.(2)
Bibliographie:
Site(1):réserve de biosphère urdaibai
Consulte le:3/11/3
Disponible-sur:http://www.spain.info/fr/que-quieres/naturaleza/espacios-naturales/reserva_de_la_biosfera_de_urdaibai.html
Site(2): Développement durable
Consulte le: 3/11/13
Disponible sur: http://developpement-durable-capi.blogspot.com.es/2010/01/zones-humides-au-cours-des-cinquante.html
Site(2): Développement durable
Consulte le: 3/11/13
Disponible sur: http://developpement-durable-capi.blogspot.com.es/2010/01/zones-humides-au-cours-des-cinquante.html
lundi 21 octobre 2013
Photosynthèse
La photosynthèse :
La plupart des plantes disposent de chlorophylle. La chlorophylle est un pigment vert qui se trouve à l’intérieur des plantes et qui transforme l’énergie de la lumière en énergie chimique. Grâce à cette substance les plantes sont capables de réaliser la photosynthèse :
C’est-à-dire que les plantes captent l’énergie de la lumière, absorbent le gaz carbonique de l’air, et l’eau du sol, pour produire de la matière vivante : bois, feuille, fleurs, racines.
En outre les plantes libèrent aussi de l’oxygène qui nous permet de respirer.
Donc les plantes absorbent le gaz carbonique de l’air et rejettent l’oxygène, alors que nous faisons le processus inverse, puisque nous, nous absorbons l’oxygène et rejetons le gaz carbonique.(1)
Bibliographie:
Site(1): photosynthèse profeseur phifix
Consulte le: 21/10/13
Disponible sur: http://www.professeurphifix.net/eveil/bota_photosynthese.htm
dimanche 13 octobre 2013
Spatule blanche
Clasification:
Nom :
Latin: Platalea leucorodia
Espagnol: Espátula común
Français : Spatule blanche
Basque : Mokozabal zuria
Englais : Eurasian
Spoonbill
Descripion de l’oiseau
La spatule blache se troube en géneral dans les zones humides où des
groupes pataugent dans les eaux peu profondes.Le lissage mutuel des plumes est
l’une de leurs principales activités.(1)
Nidification
Dès mars, les
spatules blanches reviennent à leur site de nidification. Après les parades (toilettages mutuels, huppedressée)
le couple construit un nid fait de branchettes et d'algues dans un arbre ou dans les roseaux. 3 à 5 oeufs
sont pondus entre avril et mai, incubés en 24 jours. Les petits commencent à
voler à 7 semaines, et sont adultes à 3 ou 4 ans.
Régime
Régime
Son bec
spatulé lui permet d'attraper de petits crustacés, épinoches et gambusies. (2)
Habitat de la spatule
blanche
La spatule blanche, dont il existe quatre sous-espèces,
fréquente principalement les zones humides et
marécageuses, les roselières ou les prairies bordant les rivières et les
fleuves, les deltas et les estuaires, ainsi
que certaines îles. On trouve la sous-espèce Platalea leucorodia
leucorodiadepuis la façade atlantique jusqu’en Europe centrale, tandis que la
sous-espèce Platalea leucorodia major possède la plus vaste
distribution géographique car elle est présente depuis l’Oural jusqu’en Chine
en passant par le Pakistan et l’Inde. Elle hiverne dans toute la ceinture
équatoriale du continent africain et les populations asiatiques passent la
mauvaise saison dans le sud-est de la Chine. La sous-espèce Platalea
leucorodia balsaci est inféodée aux îles du Banc d’Arguin situées au large
de la Mauritanie, et la dernière sous-espèce, Platalea leucorodia archeri,
vit sur les côtes de la mer Rouge et en Mauritanie.(3)
L'hivernage
La spatule passe
l'hiver en
Afrique occidentale.(4)
Consulté le: 13/10/13
Disponible sur: http://www.oiseaux-birds.com/fiche-spatule-blanche.html
Consulté le:13/10/13
Disponible sur: http://www.oiseaux.net/oiseaux/spatule.blanche.html
Consulté le: 13/10/13
Site(4): je sais tout... les animaux et les plantes
Consulté le: 13/10/13
Disponible sur : http://www.yfolire.net/sais/definition.php?code=spatuleb
Courlis cendré
Classification:
Nom :
Latin: Numenius
arquata
Espagnol: Zarapito real
Français: Courlis cendré
Basque: Zarapito benetako
Englais: Curlew real
Identification
Le courlis cendré
est le plus grand des limicoles européens. De la famille des bécassins (anciennement
limnodromes), il se distingue par son long bec incurvé vers le bas qui lui a valu son nom
scientifique Numenius (du grec néoménie : nouvelle lune) etarquata (du latin arcuata : courbé en arc). Ses longues pattes sont gris-bleu, terminées par 4 doigts, c'est un marcheur. (1)
Répartition
En France, on retrouve généralement le courlis cendré dans la plaine d’Alsace, en Lorraine, en Bretagne, en Normadie et surtout dans le Val de Saône. On note ainsi deux populations principales :
la première sur toute la façade atlantique qui reste toute
l’année le long des côtes
la seconde sur l’est de l’hexagone qui migre vers le
sud-ouest lors de la période hivernale (3)
En France, on retrouve généralement le courlis cendré dans la plaine d’Alsace, en Lorraine, en Bretagne, en Normadie et surtout dans le Val de Saône. On note ainsi deux populations principales :
Habitat
Le Courlis
cendré vit indifféremment sur des terrains secs ou humides, à l'intérieur des
terres ou sur le littoral avec une préférence pour les tourbières et les landes
ne dépassant pas 600 m d'altitude. En France, les principales populations
nicheuses de courlis cendrés occupent la plaine d'Alsace, la Lorraine, le Val
de Saône, la Bretagne et la Normandie.
Régime alimentaire
Tout long de l’année, le regime
alimentaire comporte des annélides, des insectes, des crustacés, des
mollusques, des baies er des graines, occasionnellement des vertébrés comme de
petits poissons, des amphibiens, des lézards, des jeunes oieseaux (er
probablement des œufs) t de petits rongeurs.
Le courlis
cendré niche dans les prairies
herbeuses, de préférence de faible hauteur, ce qui lui permet d'avoir une
parfaite couverture visuelle de
son territoire. La femelle pond en avril-mai (1 ponte annuelle), 3 à 5 oeufs
beiges, bruns ou olive tachetés de brun plus foncé, qu'elle couvera
alternativement avec le mâle pendant 27 à 29 jours. Le nid est généralement
construit dans un endroit sec à végétation basse, garni de quelques herbes
sèches ou de bruyère. Les poussins nidifugesse nourrissent seuls après quelques
jours seulement mais ne prendront leur envol qu'au bout de 32 à 38 jours. C'est
plutôt le mâle qui les élève (4)
Bibliographie:
Bibliographie :
Site(2): Fédération départementale des chasseurs de l'I sère
Consulté le: 13/110/13
Disponible sur: http://www.chasse38.com/le-courlis-cendre
Bibliographie:
dimanche 29 septembre 2013
Les plantes invasives en Bizkaye
Problème
L’herbe de la Pampa fait aujourd’hui partie
des 150 plantes invasives répertoriées sur l’Hexagone par les botanistes. Sont
considérées comme invasives par l’Union mondiale de la Nature (UICN), les
espèces exotiques, végétales ou animales, qui, implantées dans un milieu d’où
elles ne sont pas naturellement issues, se reproduisent plus rapidement que les
espèces endémiques. Selon l’UICN, elles seraient la troisième cause de perte de
la biodiversité à travers le Monde. (1)
Solution
Il faut également arracher les plants en faisant bien attention d’enlever toutes les racines. (2)
Bibliographie
Site(1); pays basque info
Consulté le : 29/9/2013
disponible sur: http://www.paysbasqueinfo.com
Bibliographie
Site(2):Le Nouveau Canard des chênaies
consulté le : 29/9/2013
Disponible sur : http://www.clemi.ac-aix-marseille.fr/spipcdc/spip.php?page=article&id_secteur=2&id_article=93
Site(2):Le Nouveau Canard des chênaies
consulté le : 29/9/2013
Disponible sur : http://www.clemi.ac-aix-marseille.fr/spipcdc/spip.php?page=article&id_secteur=2&id_article=93
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