dimanche 29 septembre 2013

Les plantes invasives en Bizkaye

Problème

 




  L’herbe de la Pampa fait aujourd’hui partie des 150 plantes invasives répertoriées sur l’Hexagone par les botanistes. Sont considérées comme invasives par l’Union mondiale de la Nature (UICN), les espèces exotiques, végétales ou animales, qui, implantées dans un milieu d’où elles ne sont pas naturellement issues, se reproduisent plus rapidement que les espèces endémiques. Selon l’UICN, elles seraient la troisième cause de perte de la biodiversité à travers le Monde. (1)

Solution







Pour limiter son développement, il faut couper les plumeaux avant la dissémination des graines pour éviter leur dissémination.
Il faut également arracher les plants en faisant bien attention d’enlever toutes les racines. (2)





Bibliographie

Site(1); pays basque info 
Consulté le : 29/9/2013
disponible sur: http://www.paysbasqueinfo.com

Bibliographie
Site(2):Le Nouveau Canard des chênaies
consulté le : 29/9/2013
Disponible sur :  http://www.clemi.ac-aix-marseille.fr/spipcdc/spip.php?page=article&id_secteur=2&id_article=93





La migration des oiseaux à Urdaibai

Pour quoi les oiseaux migrent ?

   

  Tous les oiseaux n'effectuent pas de grandes migrations et chez l'étourneau ou le rouge gorge, tous les individus ne s'envolent pas à l'approche de l'hiver ! Mais pour les oiseaux qui migrent, le moment du départ sonne lorsque leur habitat n'est plus assez riche en nourriture et que le climat devient trop rigoureux. Ils s'envolent en groupe même pour ceux qui vivent seuls le reste du temps, et ce, une fois qu'ils ont accumulées suffisamment de réserves. Ce voyage n'est pas définitif : la migration comprend un vol retour dès l'arrivée des jours meilleurs mais pas toujours par le même chemin.  ( 1)


Migration à Urdaibai



               L’embouchure de la rivière Oka dans la mer Cantabrique forme la ria de Gernika, Mundako ou Urdaibai, l’estuaire le mieux conservé de la Communauté Autonome du Pays Basque.
Déclarée Réserve de la Biosphère par l’UNESCO en 1984, ses prés humides, ses jonchaies et sa zone intermarées constituent un site stratégique de repos pour les oiseaux qui suivent les côtes atlantiques européennes dans leur migration. De nombreuses espèces de limicoles peuvent ainsi y être observées, ainsi que la spatule, les canards et le balbuzard pêcheur. (2)


Bibliographie
Site (1): espace des sciences 
Consulé le: 29/9/2013
Disponible sur: http://www.espace-sciences.org/archives/science/16309.html

Bibliographie
Site (2): briding euskadi
Consulté le: 29/9/2013
disponible sur: http://birdingpaysbasque.com








dimanche 22 septembre 2013

Toujours plus de déchets


L’augmentation de la consommation et le changement de style de vie, font que les richesses naturelles du sol sont chaque jour un peu plus exploitées
L’augmentation de la consommation a également provoqué une augmentation des déchets au point que certains n’hésitent pas à comparer les ordures à une maladie qui peut en terminer avec la planète terre: l’infarctus des déchets.

Mais qu'appelle-t-on déchet?

Tout produit qui après avoir été fabriqué, touché ou utilisé perd de sa valeur pour la personne qui le possède.
Le niveau économique de chacun va conditionner la valeur que l’on donne à chaque chose et le plus ou moins long usage que l’on va en faire.
Le concept de déchet, est donc très relatif, puisque on peut considérer déchet quelque chose qui ne l’est pas pour le voisin.

Et l'évacuation de nos déchets pose problème d'autant plus que les quantités ne cessent d'augmenter.

De tous les résidus produits dans la ville, ceux qui sont le plus en relation avec notre propre consommation, sont ceux que l’on trouve dans notre sac poubelle.

Agriculture et faim monde


Dans les 50 dernières années, la technologie moderne est parvenue à tripler la production céréalière mondiale et malgré cela plus d’1 milliard de personnes souffrent de la faim, 30 millions en meurent chaque année.
L’explosion démographique a surpeuplé la planète avec 6 milliards de personnes et une augmentation annuelle de 95 millions, alors que la surface cultivable est en train de se réduire avec la progression du désert.
Obtenir que la population mondiale se stabilise et qu’elle se nourrisse convenablement est sans aucun doute le grand défi de notre planète.
L'agriculture intensive est aujourd'hui fortement remise en question et ce n'est pas sans raison. Dégradation du paysage et du sol, procédés contestables de culture et d'élevage, mondialisation et appauvrissement de pays déjà en difficulté, mais aussi risques alimentaires réels.
Derrière cette agriculture intensive se cachent des enjeux économiques énormes, et le marché mondial est contrôlé par les grandes industries de l'agrochimie, propriétaires des herbicides, des pesticides et des semences

lundi 16 septembre 2013

L’agriculture en question


Dans la mesure ou nous obtenons les aliments de la terre, l’agriculture et l’élevage sont la base de notre culture, notre civilisation.Tout au long du 20eme siècle, les agriculteurs/agricultrices des pays industrialisés se sont lancés dans la course folle de la productivité, en ayant recours, chaque fois un peu plus à l’usage de machines agricoles et de carburant, d’engrais chimiques, de pesticides…C’est la « Révolution verte ».Ces systèmes intensifs de production ont contribué à améliorer notre niveau de vie, cependant le revers de la médaille est peu brillant : sols dégradés, eaux contaminées, perte de la biodiversité, aliments avec des résidus dangereux pour notre santé.La globalisation impose ces modèles de production intensive à l’ensemble de la planète, et de nombreux agriculteurs sont dépossédés de leur terre et se voient obligés à émigrer vers la « terre promise ». Cette situation provoque la perte de la vie rurale et sa culture, la pauvreté et la faim dans le monde.