dimanche 24 novembre 2013

Visite à Urdaibai



A Urdaibai en premier nous avons  allait à un observatoire  qui était à trois minutes du Birds Center muse. Quand on à allait a l’observatoire on a vu beaucoup d’espèces d’oiseaux avec  un télescope que la  avait la guide. Comme : Spatule blanche, martin-pêcheur, gazette commune…Après ont est allait a Birds center muse d’Urdaibai et on a vu tous les espèces qu’il y a dans les marais d’Urdaibai. Ils nous ont montre un vidéo on nu expliquons les espèces d’oiseaux et de canard  et aussi  dans le vidéo ils nous ont explique comment les oiseaux migrent et par ou ils passent par exemple les lieu ou presque tous les oiseux passent  sont Wadden sea, Banc d’arguin, Urdaibai… Après ils nous ont montre des vidéo d’oiseaux que eux même ils avaient fait, il y avait quatre écran et dans chaque écran avait un oiseau de las même espèce et ont marche quatre pas et on arrive et il y avait autre quatre écrans  mais avec une autre espèce.  Aussi ils nous ont montre comment ils lancent  un ballon d’hélio pour voir la météo et con le jour termine le ballon explose.  A la fin on a monte des escaliers qui arrive trés élevé et de la on a peu voir très bien les marais d’Urdaibai.  Après on a manger on a prie le bus et on a allait a les grottes de santimamiñe. 

dimanche 3 novembre 2013

L'écosystème du marais d'Urdaibai


Dans la province de Biscaye, entre les caps de Matxitxaco et Ogoño, se déploient douze kilomètres d'étendues de sable qui ont été classées par l'UNESCO, tout comme de nombreux autres écosystèmes, réserve de la biosphère (1984). Des forêts de chênes verts côtoient des zones de végétation aquatique, ce qui rend compte de la valeur écologique de cette ria.


La ria d'Urdaibai constitue l'un des sites naturels les plus intéressants du Pays basque. Des montagnes relativement peu élevées, très escarpées cependant, donnent accès à une vallée qui débouche sur la mer Cantabrique en créant un large estuaire. La plaine cultivée se transforme en marais, tandis que sur la côte, les plages sont entrecoupées de falaises. Aussi, de nombreux biotypes et écosystèmes cohabitent-ils. En ce sens, un exemple remarquable de cette harmonie est la zone humide inscrite dans la Convention de Ramsar, classée Zone de protection spéciale des oiseaux. La diversité qui caractérise ce site se manifeste dans l'existence de forêts de chênes verts, de maquis, de landes, de rochers et de plantes aquatiques. Dans les régions où la main de l'homme est intervenue, il existe des plantations forestières, des prairies et des cultures abritant d'autres espèces animales et végétales. Parmi plus de 600 espèces que compte cette zone, les plantations de chênes verts cantabriques méritent une mention à part. En ce qui concerne la faune, la communauté la plus importante est constituée par des oiseaux, étant donné que cette zone humide est un endroit de passage pour de nombreux oiseaux migrateurs. Cette richesse ornithologique est due à la présence aussi bien d'oiseaux sédentaires que d'oiseaux qui nidifient. Plus de 300 vertébrés ont été répertoriés dans cette réserve de la biosphère.

Ce marais se divise en 3 zones bien distinctes. 



La partie haute, comprise entre Gernika et Murueta / Arteaga où domine l'influence d'eau douce. Les communautés végétales les plus importantes sont les roseaux dans les zones inondées et les prés. 
Les rosières constituent un habitat des plus importants pour la reproduction de certaines espèces d'oiseaux qui trouvent là, nourriture et protection. Leur maintien est donc primordial.(Râle d'eau, Bruant des roseaux, Bergeronnette printanière, Rousserolle effarvatte etc... )
Ces prés ont été gagnés sur d'anciennes zones humides par la construction de digues empêchant l'entrée d'eau salée. Un système d'écluse permettait d'écouler le surplus des eaux pluviales.

La partie centrale, entre Murueta / Axpe sur la rive gauche et Arteaga / Kanala sur la rive droite. Ici on note une influence marine importante et le marais prend ici toute son ampleur. Les marées conditionnent la vie dans l'estuaire en créant un milieu hostile pour la plupart des plantes. Cependant, un petit groupe a développé une adaptation au milieu qui leur permet d'affronter avec succès la salinité, l'inondation au grés des marées, la mouvance du sol et le manque d'oxygène. La distance du canal central conditionne la distribution des plantes.
Sur le bord même du canal on trouve exclusivement ou presque, l'herbe marine, rare et protégée, qui en dehors des grandes marées, reste en permanence sous les eaux. 
Puis on trouve des bandes formées par la spartéine marine et les salicornes. 
Un peu plus loin, Halimione portulacoides et limonium vulgare (rare et protégée par la loi) marquent le niveau moyen des marées dans tout l'estuaire.
Enfin, sur les prairies en permanence humides, les joncs et les roseaux, véritable zone de transition entre le marais et la terre ferme, refuge naturel de bien des oiseaux migrateurs mais aussi aire de nidification par excellence de quelques espèces. La protection de cet habitat s'impose donc
A signaler aussi la présence de quelques arbres supportant un fort degré de salinité et l'inondation temporaire: le tamaris, la saule commun et, prés de l'influence des eaux douces, l'aulne qui occupe les fondrières. A Busturria, à proximité du marais, on observe également une zone terrestre artificielle composée de dépôts de sable provenant du dragage de la Ria sur d'anciens polders. Cette zone abrite aujourd'hui, 30 ans après sa création, une flore adaptée à un substrat pauvre et sec: lagure ovale, camomille, liseron terrestre, mélilot blanc....
En lisière de cette zone abondent malheureusement des plantes invasives (Pampa, Baccharia) provenant d'autres continents et qui éliminent dans bien des cas les plantes locales.

La zone inférieure, qui s'étend depuis Axpe / Kanala jusqu'à l'embouchure avec très forte influence marine. Ici dominent plages, dunes et bancs de sable.
Suite à une grosse tempête, les dunes de Laida ont disparu vers 1950, et l'action du vent et de la mer ont alors empêché la récupération de la flore. Depuis 1999, le "Patronato d'Urdaibai" a lancé un projet de récupération de la plage par la restauration de la dune. Les dunes sont l'habitat du littoral le plus inhospitalier, dans lequel vivent pourtant des plantes et des animaux singuliers, la plupart d'entre-eux en danger d'extinction.
Les dunes consolident et protègent la plage en évitant les pertes de sable. Leur stabilisation évite aussi le transport de sable vers l'intérieur de l'estuaire, limitant ainsi son ensablement.(2) 



Bibliographie:


Site(1):réserve de biosphère urdaibai
Consulte le:3/11/3 

lundi 21 octobre 2013

Photosynthèse




La photosynthèse :

La plupart des plantes disposent de chlorophylle. La chlorophylle est un pigment vert qui se trouve à l’intérieur des plantes et qui transforme l’énergie de la lumière en énergie chimique. Grâce à cette substance les plantes sont capables de réaliser la photosynthèse :
C’est-à-dire que les plantes captent l’énergie de la lumière, absorbent le gaz carbonique de l’air, et l’eau du sol, pour produire de la matière vivante : bois, feuille, fleurs, racines.
En outre les plantes libèrent aussi de l’oxygène qui nous permet de respirer.
Donc les plantes absorbent le gaz carbonique de l’air et rejettent l’oxygène, alors que nous faisons le processus inverse, puisque nous, nous absorbons l’oxygène et rejetons le gaz carbonique.(1)





Bibliographie:


Site(1): photosynthèse profeseur phifix

Consulte le: 21/10/13

dimanche 13 octobre 2013

Spatule blanche


Clasification:



Nom :


Latin: Platalea leucorodia
Espagnol: Espátula común
Français : Spatule blanche
Basque : Mokozabal zuria
Englais : Eurasian Spoonbill


Descripion de l’oiseau

La spatule blache se troube en géneral dans les zones humides où des groupes pataugent dans les eaux peu profondes.Le lissage mutuel des plumes est l’une de leurs principales activités.(1)




Nidification

Dès mars, les spatules blanches reviennent à leur site de nidification. Après les parades (toilettages mutuels, huppedressée) le couple construit un nid fait de branchettes et d'algues dans un arbre ou dans les roseaux. 3 à 5 oeufs sont pondus entre avril et mai, incubés en 24 jours. Les petits commencent à voler à 7 semaines, et sont adultes à 3 ou 4 ans. 

Régime

Son bec spatulé lui permet d'attraper de petits crustacés, épinoches et gambusies. (2)


Habitat de la spatule blanche

La spatule blanche, dont il existe quatre sous-espèces, fréquente principalement les zones humides et marécageuses, les roselières ou les prairies bordant les rivières et les fleuves, les deltas et les estuaires, ainsi que certaines îles.  On trouve la sous-espèce Platalea leucorodia leucorodiadepuis la façade atlantique jusqu’en Europe centrale, tandis que la sous-espèce Platalea leucorodia major possède la plus vaste distribution géographique car elle est présente depuis l’Oural jusqu’en Chine en passant par le Pakistan et l’Inde. Elle hiverne dans toute la ceinture équatoriale du continent africain et les populations asiatiques passent la mauvaise saison dans le sud-est de la Chine. La sous-espèce Platalea leucorodia balsaci est inféodée aux îles du Banc d’Arguin situées au large de la Mauritanie, et la dernière sous-espèce, Platalea leucorodia archeri, vit sur les côtes de la mer Rouge et en Mauritanie.(3)

L'hivernage

La spatule passe l'hiver en Afrique occidentale.(4)




Bibliographie:

Site(1): oiseau birds 
Consulté le: 13/10/13


Bibliographie:

Site(2):  oiseaux.net 
Consulté le:13/10/13 

Bibliographie:

Site(3): futura nature 
Consulté le: 13/10/13

Bibliographie:

Site(4):   je sais tout... les animaux et les plantes 
Consulté le: 13/10/13


Courlis cendré

Classification: 




Nom :

 Latin: Numenius arquata
 Espagnol: Zarapito real
Français: Courlis cendré
Basque: Zarapito benetako
Englais: Curlew real 

Identification 

Le courlis cendré est le plus grand des limicoles  européens. De la famille des bécassins (anciennement limnodromes), il se distingue par son long bec incurvé vers le bas qui lui a valu son nom scientifique Numenius (du grec néoménie : nouvelle lune) etarquata (du latin arcuata : courbé en arc). Ses longues pattes sont gris-bleu, terminées par 4 doigts, c'est un marcheur. (1)
Répartition

En France, on retrouve généralement le courlis cendré dans la plaine d’Alsace, en Lorraine, en Bretagne, en Normadie et surtout dans le Val de Saône. On note ainsi deux populations principales : 
 la première sur toute la façade atlantique qui reste toute l’année le long des côtes 
 la seconde sur l’est de l’hexagone qui migre vers le sud-ouest lors de la période hivernale (3)

 
Habitat

Le Courlis cendré vit indifféremment sur des terrains secs ou humides, à l'intérieur des terres ou sur le littoral avec une préférence pour les tourbières et les landes ne dépassant pas 600 m d'altitude. En France, les principales populations nicheuses de courlis cendrés occupent la plaine d'Alsace, la Lorraine, le Val de Saône, la Bretagne et la Normandie.

Régime alimentaire

Tout long de l’année, le regime alimentaire comporte des annélides, des insectes, des crustacés, des mollusques, des baies er des graines, occasionnellement des vertébrés comme de petits poissons, des amphibiens, des lézards, des jeunes oieseaux (er probablement des œufs) t de petits rongeurs.


Nidification

Le courlis cendré niche dans les prairies herbeuses, de préférence de faible hauteur, ce qui lui permet d'avoir une parfaite couverture visuelle de son territoire. La femelle pond en avril-mai (1 ponte annuelle), 3 à 5 oeufs beiges, bruns ou olive tachetés de brun plus foncé, qu'elle couvera alternativement avec le mâle pendant 27 à 29 jours. Le nid est généralement construit dans un endroit sec à végétation basse, garni de quelques herbes sèches ou de bruyère. Les poussins nidifugesse nourrissent seuls après quelques jours seulement mais ne prendront leur envol qu'au bout de 32 à 38 jours. C'est plutôt le mâle qui les élève (4)





Bibliographie: 

 Site(1) :oiseaux.net 
Consulté le: 13/10/13

Bibliographie :

Site(2): Fédération  départementale des chasseurs de l'I sère 
Consulté le: 13/110/13

Bibliographie: 

 Site(1) :oiseaux.net 
Consulté le: 13/10/13



dimanche 29 septembre 2013

Les plantes invasives en Bizkaye

Problème

 




  L’herbe de la Pampa fait aujourd’hui partie des 150 plantes invasives répertoriées sur l’Hexagone par les botanistes. Sont considérées comme invasives par l’Union mondiale de la Nature (UICN), les espèces exotiques, végétales ou animales, qui, implantées dans un milieu d’où elles ne sont pas naturellement issues, se reproduisent plus rapidement que les espèces endémiques. Selon l’UICN, elles seraient la troisième cause de perte de la biodiversité à travers le Monde. (1)

Solution







Pour limiter son développement, il faut couper les plumeaux avant la dissémination des graines pour éviter leur dissémination.
Il faut également arracher les plants en faisant bien attention d’enlever toutes les racines. (2)





Bibliographie

Site(1); pays basque info 
Consulté le : 29/9/2013
disponible sur: http://www.paysbasqueinfo.com

Bibliographie
Site(2):Le Nouveau Canard des chênaies
consulté le : 29/9/2013
Disponible sur :  http://www.clemi.ac-aix-marseille.fr/spipcdc/spip.php?page=article&id_secteur=2&id_article=93





La migration des oiseaux à Urdaibai

Pour quoi les oiseaux migrent ?

   

  Tous les oiseaux n'effectuent pas de grandes migrations et chez l'étourneau ou le rouge gorge, tous les individus ne s'envolent pas à l'approche de l'hiver ! Mais pour les oiseaux qui migrent, le moment du départ sonne lorsque leur habitat n'est plus assez riche en nourriture et que le climat devient trop rigoureux. Ils s'envolent en groupe même pour ceux qui vivent seuls le reste du temps, et ce, une fois qu'ils ont accumulées suffisamment de réserves. Ce voyage n'est pas définitif : la migration comprend un vol retour dès l'arrivée des jours meilleurs mais pas toujours par le même chemin.  ( 1)


Migration à Urdaibai



               L’embouchure de la rivière Oka dans la mer Cantabrique forme la ria de Gernika, Mundako ou Urdaibai, l’estuaire le mieux conservé de la Communauté Autonome du Pays Basque.
Déclarée Réserve de la Biosphère par l’UNESCO en 1984, ses prés humides, ses jonchaies et sa zone intermarées constituent un site stratégique de repos pour les oiseaux qui suivent les côtes atlantiques européennes dans leur migration. De nombreuses espèces de limicoles peuvent ainsi y être observées, ainsi que la spatule, les canards et le balbuzard pêcheur. (2)


Bibliographie
Site (1): espace des sciences 
Consulé le: 29/9/2013
Disponible sur: http://www.espace-sciences.org/archives/science/16309.html

Bibliographie
Site (2): briding euskadi
Consulté le: 29/9/2013
disponible sur: http://birdingpaysbasque.com








dimanche 22 septembre 2013

Toujours plus de déchets


L’augmentation de la consommation et le changement de style de vie, font que les richesses naturelles du sol sont chaque jour un peu plus exploitées
L’augmentation de la consommation a également provoqué une augmentation des déchets au point que certains n’hésitent pas à comparer les ordures à une maladie qui peut en terminer avec la planète terre: l’infarctus des déchets.

Mais qu'appelle-t-on déchet?

Tout produit qui après avoir été fabriqué, touché ou utilisé perd de sa valeur pour la personne qui le possède.
Le niveau économique de chacun va conditionner la valeur que l’on donne à chaque chose et le plus ou moins long usage que l’on va en faire.
Le concept de déchet, est donc très relatif, puisque on peut considérer déchet quelque chose qui ne l’est pas pour le voisin.

Et l'évacuation de nos déchets pose problème d'autant plus que les quantités ne cessent d'augmenter.

De tous les résidus produits dans la ville, ceux qui sont le plus en relation avec notre propre consommation, sont ceux que l’on trouve dans notre sac poubelle.

Agriculture et faim monde


Dans les 50 dernières années, la technologie moderne est parvenue à tripler la production céréalière mondiale et malgré cela plus d’1 milliard de personnes souffrent de la faim, 30 millions en meurent chaque année.
L’explosion démographique a surpeuplé la planète avec 6 milliards de personnes et une augmentation annuelle de 95 millions, alors que la surface cultivable est en train de se réduire avec la progression du désert.
Obtenir que la population mondiale se stabilise et qu’elle se nourrisse convenablement est sans aucun doute le grand défi de notre planète.
L'agriculture intensive est aujourd'hui fortement remise en question et ce n'est pas sans raison. Dégradation du paysage et du sol, procédés contestables de culture et d'élevage, mondialisation et appauvrissement de pays déjà en difficulté, mais aussi risques alimentaires réels.
Derrière cette agriculture intensive se cachent des enjeux économiques énormes, et le marché mondial est contrôlé par les grandes industries de l'agrochimie, propriétaires des herbicides, des pesticides et des semences

lundi 16 septembre 2013

L’agriculture en question


Dans la mesure ou nous obtenons les aliments de la terre, l’agriculture et l’élevage sont la base de notre culture, notre civilisation.Tout au long du 20eme siècle, les agriculteurs/agricultrices des pays industrialisés se sont lancés dans la course folle de la productivité, en ayant recours, chaque fois un peu plus à l’usage de machines agricoles et de carburant, d’engrais chimiques, de pesticides…C’est la « Révolution verte ».Ces systèmes intensifs de production ont contribué à améliorer notre niveau de vie, cependant le revers de la médaille est peu brillant : sols dégradés, eaux contaminées, perte de la biodiversité, aliments avec des résidus dangereux pour notre santé.La globalisation impose ces modèles de production intensive à l’ensemble de la planète, et de nombreux agriculteurs sont dépossédés de leur terre et se voient obligés à émigrer vers la « terre promise ». Cette situation provoque la perte de la vie rurale et sa culture, la pauvreté et la faim dans le monde.